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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 08:14

Montage : Emeric Olichon..

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7 janvier 2015 3 07 /01 /janvier /2015 11:08
On parle du concert dans la presse !
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16 décembre 2014 2 16 /12 /décembre /2014 07:43

Making of du premier concert Rock en SEN organisé par les premières SEN 2013/2014.

Bravo à tous et merci à Emeric pour la réalisation !

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 09:52
ECM8000

Le micro Behringer ECM8000 est un microphone de mesure (omnidirectionnel, réponse en fréquence très plate).

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 09:49
AE3000

Le micro Audio-Technica AE3000 est conçu pour fonctionner avec des niveaux de pression acoustique élevés. Adapté pour les amplis de guitare, toms, caisse claire, timbales et overheads.

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 09:45
BETA 91A

Micro conçu pour capter les grosses caisses et les fréquences basses du piano.

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8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 09:41
BETA 53

Le Shure Beta 53 est un micro serre-tête conçu pour capter des discours et du chant.

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Published by T.C.
8 octobre 2014 3 08 /10 /octobre /2014 09:39

Nous venons de recevoir quelques micros.

Présentation sommaire dans les articles qui suivent.

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Published by T.C.
14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 07:45

Définition : Un réseau permet l'échange d'informations entre plusieurs appareils.  

 

  1. 1- Topologies
    Pour échanger les appareils doivent être reliés entre eux.
    La manière dont les connections sont réalisées s'appelle la Topologie.
    Les topologies les plus courantes sont :
    1. 1- Bus
      Les appareils sont reliés entre eux par un simple câble.
      http://compnetworking.about.com/library/graphics/topology_bus.gif
    2. 2- Étoile
      Les appareils sont reliés à un switch (commutateur) ou hub (concentrateur). C'est la solution utilisée sur les réseaux ethernet.

      http://etutorials.org/shared/images/tutorials/tutorial_59/04fig08.gif
    3. 3- Anneau
      Le modèle le plus connu est l'anneau à jeton (token ring) d'IBM. La circulation des informations se fait dans un seul sens. Les machines font un "jeton" qu'elles acceptent ou refusent suivant qu'il leur est destiné ou pas.
      http://0.tqn.com/d/compnetworking/1/0/p/1/topology_ring.gif
  2. 2- Types de réseaux
    Le réseau peut avoir différentes tailles.
    1. 1- LAN (Local Area Network)
      Le LAN est ce que l'on appelle le réseau local. Les ordinateurs peuvent s'échanger des trames sans avoir à passer par un routeur.

    2. 2- MAN (Metropolitan Area Network)
      Le MAN est le réseau métropolitain. Un MAN relie plusieurs réseaux locaux (LAN) entre eux assez proches les uns des autres par l'intermédiare de routeurs. Les routeurs sont souvent reliés entre eux avec des fibres optiques.

    3. 3- WAN (Wide Area Network)
      Réseau étendu... Internet.

  3. 3- Le modèle OSI (Open System Interconnection Model)
    Pour que les machines se comprennent toutes les communication doivent être calibrées sur le même modèle.

osi-tcp-model.gif

La communication entre deux appareils se fait suivant un modèle qui comprend 7 niveau (ou couches).

Ces couches sont encapsulées les unes dans les autres de la manière suivante :

Niveau 1 [Niveau 2 [Niveau 3 [Niveau 4 [Niveau 5 [Niveau 6 [Niveau 7]]]]]]]

Niveau 1 : C'est le niveau physique. On y détermine le type de signal qui va être transmis, sur quel type de câble, etc...

Niveau 2 : C'est la liaison de données. La trame complète. Ce niveau détermine les adresses MAC source et destination.
L'adresse MAC (Media Access Contrôl), aussi appelée adresse physique est attribuée à la fabrication de l'interface réseau. Elle est unique (aucune autre machine dans le monde ne peut avoir la même).

Niveau 3 : C'est le niveau réseau. Utilisé par les routeurs. Il gère les adresses IP et les masques de sous-réseau.

Niveau 4 : C'est le niveau Transport. Gère les erreurs de transport.

Niveau 5 : C'est le niveau Session. Il gère la coordination des échanges (organisation, synchronisation)

Niveau 6 : C'est la niveau Présentation. Il gère la compatibilité des informations entre les différentes tâches, l'encryptage , la compression.

Niveau 7 : C'est le niveau Application. Il gère la connection avec les applications utilisateur.


  1. 1- Le protocole TCP/IP (Transmission Control Protocol / Internet Protocol)
    C'est le modèle utilisé sur internet. Il ne contient que 4 niveaux (Physique, Réseau, Transport, Services
    La trame ci-dessous va servir d'exemple pour expliquer les différents niveaux.
    Sur cette première capture, la ligne "Frame" est sélectionnée et on voit tous les octets surlignés en bleu. C'est la trame complète (N°10).trame
    1. 1- La couche Physique (ADSL, fibre optique, ondes...)
      même chose que pour le modèle OSI.

    2. 2- La couche réseau (Ethernet, IP)
      Exemple :La ligne sélectionnée est la ligne "Ethernet". On y retrouve les adresses MAC de la source et de la destination. En bas les octets correspondants.ethernet
      C'est maintenant la ligne IP qui est sélectionnée. On y retrouve les adresses IP de la source et de la destination. En bas les octets correspondants.
      Internet

    3. 3- La couche Transport (TCP, UDP,...)
      La ligne TCP nous indique les ports utilisés par la source (52719(10) = 0xcdef) et la destination (80 = 0x0050)
      TCP

    4. 4- La couche Services ou Application (HTTP, FTP, SMPT, DNS,...)
      On retrouve ici le contenu ASCII de la requête HTTP.
      Host en ASCII : 48 6f 73 74
      HTTP


Quelques définitions :

  1.   Routeur
    Le routeur relie les ordinateurs entre eux et assure la transmission des trames d'une interface (ethernet) à une autre.
    Le routage est l'opération qui permet de définir par ou doit passer la trame.
    Pour aller d'une machine à une autre, on fera du routage unicast.
    Pour atteindre toutes les machines d'un réseau, le routage sera broadcast.

    Le travail du routeur se situe sur la couche de niveau 3 du modèle OSI.

  2. Masque de réseau

    En IPV4, une adresse IP est définie par 4 octets.
    Exemple 192.168.10.1
    La partie haute de cette adresse désigne le réseau, la partie basse la machine.

    Le masque de réseau permet de définir la séparation entre la partie réseau et la partie machine.
    Pour un LAN, le masque réseau est généralement 255.255.255.0
    ou en binaire
    1111 1111 . 1111 1111 . 1111 1111
    . 0000 0000

    soit pour l'adresse 192.168.10.1 (C0.A8.0A.01)
    1100 0000 . 1010 1000 . 0000 1010 . 0000 0001

    192.168.10. désigne le réseau, cette partie sera commune à toutes les machines du réseau.
    01 désigne la machine. Elle est la seule sur le réseau a avoir cette adresse.

    Avec un masque à 255.255.255.0, il reste 8 bits dispoibles pour adresser des machines, soit 256 possibilités.
    L'adresse 192.168.10.0 (pour notre exemple) est l'adresse du réseau et l'adresse 192.168.10.255 est l'adresse broadcast (voir routeur). Il reste 254 machines adressables, de l'adresse 192.168.10.1 à l'adresse 192.168.10.254

    Les adresses IP sont divisées en plusieurs catégories qui sont différentiées par la taille de leur masque :

    • Les adresses de classe C : le masque fait trois octet (trois octets pour le réseau, un pour les machines) : 255.255.255.0
      Leur premier octet est obligatoirement compris entre 192 et 223.

    • Les adresses de classe B : Le masque fait deux octets (255.255.0.0)
      Leur premier octet est obligatoirement compris entre 128 et 191.
      On a deux octets disponibles pour les machines, on peut donc en connecter jusqu'à 65534.

    • Les adresses de classe A :Le masque ne fait qu'un octet (255.0.0.0)
      Leur premier octet est obligatoirement compris entre 0 et 127.
      On a deux trois disponibles pour les machines, on peut donc en connecter jusqu'à 16777214.
  3. UDP (User Datagram Protocol)
    Appartient à la couche "transport". Il permet d'envoyer des trames en mode "non connecté", l'économie réalisée en ommettant les échanges de connection entre les machines permet d'envoyer un plus grand nombre de données. En contrepartie, on pert l'assurance que les données ont été correctement reçues.

  4. HTTP (HyperText Transfert Protocol)
    Appartient à la couche "Application" (typiquement utilisé par les navigateurs web)

  5. FTP (File transfert protocol)
    Appartient à la couche "Application". Protocole d'échange de fichier.

  6. SMPT(Simple Mail Transfer Protocol)
    Appartient à la couche "Application". Protocole utilisé pour les transferts de mails.

  7. DNS (Domain Name System)
    Les adresses du type free.fr ou www.google.com sont plus facile à utiliser par les humains, mais les machines préfèrent 212.27.48.10 ou 173.194.67.104.
    C'est le serveur DNS qui permet l'association entre les deux.
    Si un ordinateur ne connait pas d'adresse de serveur DNS, on ne peut aller avec son navigateur sur internet qu'en utilisant les adresses IP.

  8. DHCP(Dynamic Host Configuration Protocol)
    Il est très fastidieux de configurer toutes les machines d'un réseau (adresse IP, adresse du routeur, adresse du serveur DNS) manuellement. Le protocole DCHP permet d'assurer toute cette configuration automatiquement au démarage de la machine.
    Pour qu'une machine puisse ête configurée automatiquement, il faut impérativement avoir un serveur DHCP sur le réseau.


    ________ 
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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 10:59
La fonction amplification.

fonction.png 

Le principe est de transformer un signal de faible puissance en signal de forte puissance.

La seule chose que fait un amplificateur est de multiplier la puissance d'un signal en piochant dans une réserve (l'alimentation électrique).

Les classes d'amplficateurs.

Il existe plusieurs technologies pour amplifier un signal électrique.

Aujourd'hui, c'est la plupart du temps le transistor qui réalise l'amplification (on trouve encore cependant en audio des amplificateurs à tubes.)

Les exemples ci-dessous seront tous pris sur des modèles à transistors, mais pour les premiers, le principe est utilisable pour des amplis à tubes.

 

Voici principaux types d'ampli audio :

(les images qui suivent viennent du site : www.electronics-tutorials.ws vous pouvez cliquer sur chaque image pour retrouver sa page d'origine ainsi que des explications beaucoup plus détaillées.)

L'amplificateur de classe A

Un seul transistor est utilisé pour amplifier tout le signal :

amp21.gif

Avantage : Le signal amplifié est de très bonne qualité

Inconvénient : Forte consommation (faible rendement <25%) , réservé aux amplificateurs de faible puissance et aux préamplificateurs. Consomme au repos.

 

L'amplificateur de  classe B

 

On utilise deux transistors qui n'amplifient chacun que la moitiée du signal.

amp25.gifAvantage : Meilleur rendement(environ 75%)

Inconvénient : le passage du signal d'un transistor à un autre entraine une distortion (crossover distortion) qui peut être audible sur les signaux faibles.LiFig12.jpg

 

L'amplificateur de  classe AB

La classe AB est un crompromis entre la classe A et la Classe B : Un signal faible ne sera amplifié que par un seul transistor et un signal fort par les deux.

Exemple de montage : amp47.gif

On voit les deux diodes de polarisation (Biasing diodes) qui permettent de travailler en classe AB.

 

L'amplificateur de classe D

Les amplificateurs précédents utilisent le mode de fonctionnement linéaire du transistor, comme en électronique analogique.

L'amplificateur de classe D utilise le transistor en commutation comme en électronique numérique (0 ou 1, tout ou rien)), mais ce n'est pas un amplificateur numérique : C'est un signal analogique qui entre (le signal Ve rouge sur l'animation)

L'avantage du fonctionnement en commutation est que la puissance dissipée par un transistor quand il est bloqué ou saturé est quasiment nulle. Le rendement de ce genre d'ampli est donc très important (jusqu'à 90%)

 

 

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/1/1f/PWM_3L.gif

 

 

500px-Principe_classe_D.svg.png

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Spécifications techniques
Sensibilité d'entrée

C'est la valeur de la tension en entrée qui permet d'obtenir la puissance maximale en sortie.

Gain

C'est le rapport entre la puissance de sortie et la puissance d'entrée.

Le gain en puissance se calcule avec la formule suivante :

G = 10log (Ps/Pe) dB (Ps : puissance de sortie. Pe Puissance d'entrée)

Il est généralement réglable.

L'impédance de charge minimum

L'impédance d'une enceinte est la manière dont elle s'oppose au passage du courant fourni par l'ampli.

Plus elle est faible, plus le courant passe facilement.

Si elle est trop faible, la demande en puissance risque d'être trop grande et on risque de déteriorer l'ampli.

Le constructeur défini donc une impédance de charge minimum pour laquelle il garanti un fonctionnement correct.

Les valeurs courantes sont 2 ou 4 ohms.

Attention :

L'impédance de 2 enceintes identiques mises en série sera multipliée par 2 (ex : 2 enceintes de 4 ohms en série donneront une impédance de 8 ohms sur l'ampli.

L'impédance de 2 enceintes identiques mises en parallèle sera divisée par 2 (ex : 2 enceintes de 4 ohms en parallèle donneront une impédance de 2 ohms sur l'ampli.

 

Pour plus de détails : http://www.techniquesduson.com/impedance1.html

Le rapport Signal sur Bruit

Ce rapport, définit la qualité du signal amplifié.

La partie Signal représente le signal voulu (celui qui entre dans l'ampli multiplié par le gain)(A sur le chronograme ci-dessous)

La partie Bruit ne représente pas le son mais l'ensemble des signaux parasites ajoutés au signal d'entrée. C'est ce qui correspond au souffle, au bruit de fond que l'on peut entendre sur des amplis de mauvaise qualité. (B- sur le chronogramme ci-dessous) 600px-Noise_effect.svg.png

Un ampli de bonne qualité doit avoir un raport S/B supérieur à 100.

La distortion Harmonique (THD Total Harmonic Distortion)

Les sons qu'un ampli doit transmettre sont rarement simplement sinusoïdaux, ou alors, ce n'est plus vraiment de la musique.

L'amplificateur doit donc amplifier la fondamentale plus les harmoniques du signal d'entrée. La distortion harmonique représente la difficulté qu'a l'ampli à amplifier fidèlement les harmoniques du signal.

On voit sur l'animation que pour un signal d'entrée carré (c'est pour l'exemple, ce n'est pas non plus vraiment de la musique), le signal de sortie ne le sera plus vraiment.

La THD doit être la plus faible possible (<0,1%)

 

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/0/0a/Synthesis_square.gifFonctions courantes

On trouve généralement une fonction Limiteur qui compressera le signal sans distortion juste avant d'atteindre la limite de l'ampli.


Suivant l'usage que l'on veut faire de l'ampli, on trouvera une fonction filtrage qui permettra de n'amplifier que les graves (pour brancher sur un sub) ou que les medium/aigus.

 

Un bloc 19" est généralement équipé de deux amplis que l'on pourra choisir d'utiliser pour de la stéréo (les deux ampli sont indépendants), en mode parallèle (les deux ampli amplifient le même signal d'entrée. Les sorties sont indépendantes) ou en mode bridge (les deux ampli fonctionnent avec une même entrée mais en opposition de phase. En se branchant sur les deux bornes rouges, on multiplie la puissance par 4, l'impédance de charge mini étant multipliée par deux)

Connectique

Entrée : La connectique d'entrée est généralement constituée de prises XLR et/ou Jack 6.35 destinées à recevoir un signal symétrique.

 

Sortie: La connectique de sortie est généralement constituée de prises SPEAKON ou de connecteurs à Vis

 

Exemple de prise Speakon :

092-050_s.jpg092-052_s.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les câbles

Ils doivent faire passer un courant de plusieurs ampères sans chauffer. Leur section doit donc être importante (2,5mm min)

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  • : Bac SN ARED RISC AudioVisuel Professionnel, St Gab
  • : Éléments techniques Bac Pro SEN Audiovisuel Professionnel St Gab.
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